Une étude réalisée par Bankinter prévoit que cette année 326.000 opérations sur des actifs résidentiels seront clôturées, ce qui correspond aux minimums de la crise précédente. (EjePrime)
L‘achat et la vente de logements s’effondrent en raison du coronavirus. En 2020, 326.000 opérations sur des actifs résidentiels seront clôturées, soit 35 % de moins qu’en 2019 et au même niveau que les minimums de la crise précédente, situés entre 2012 et 2014, selon un rapport de Bankinter publié dans El Confidencial.
Malgré le fait que les experts prévoient que la chute sera temporaire et que les décisions d’achat seront reportées de six mois à un an seulement, ils assurent qu’une partie de la demande viendra du marché. Cet impact sur la demande entraînera une réduction des prix de 6 % en 2020 des actifs, alors que le prix des terrains pourrait au final chuter jusqu’à 20 %.
Le rapport prévoit également que les prix se stabiliseront en 2021 grâce à la reprise de l’offre et qu’il pourrait même y avoir « une pénurie de l’offre en 2022 en raison du retard dans le démarrage des travaux prévu pour 2020 ».
Source et suite : EjePrime