En 2023, 10 provinces représenteront plus de la moitié des transactions, avec Barcelone, Tolède et Madrid en tête.

L’année dernière, 22.000 terrains ont été vendus pour une valeur de 3.310 millions d’euros, avec Madrid et Barcelone comme moteurs de la demande, contre 26.300 terrains en 2022, totalisant un volume de 4.502 millions d’euros.

L’acquisition de terrains urbains s’ajuste. En 2023, un total de 22.000 terrains ont été transigés pour une valeur de 3.310 millions d’euros, contre 26.300 terrains en 2022, totalisant un volume de 4.502 millions d’euros, selon le dernier rapport de la société de conseil Savills.

En 2023, dix provinces ont concentré plus de la moitié des opérations, avec Barcelone, Tolède et Madrid en tête. Le top 10 représente 68% de l’activité totale, avec Madrid, Barcelone et Malaga en tête. À Madrid, 1.149 terrains ont été vendus pour 560,9 millions d’euros, et à Barcelone, 2.052 terrains ont été transigés pour une valeur de 375,7 millions d’euros.

“Dans les marchés résidentiels les plus actifs, la pénurie d’offre et la solidité de la demande ont entraîné une forte hausse des prix des terrains résidentiels”, souligne la société de conseil. Un exemple de cette situation est le Paus du sud-est de Madrid, où les prix des terrains ont augmenté de 40% depuis 2019, selon les données de Savills.

En 2023, 10 provinces ont concentré plus de la moitié des opérations, avec Barcelone, Tolède et Madrid en tête.

L’achat de terrains par des promoteurs résidentiels se concentre dans des marchés très spécifiques pour la première résidence, comme Madrid, Barcelone, Valence, Séville, Malaga, Saragosse, Palma et Séville, ainsi que dans des marchés de vacances très spécifiques de la Costa del Sol, de la côte valencienne et des Baléares. On observe également un intérêt croissant pour des marchés spécifiques de la côte cantabrique où la demande de résidences de vacances est en forte hausse.

Dans les villes de petite et moyenne taille, de moins de 150.000 habitants, “l’activité des promoteurs est très faible et, dans tous les cas, de petits promoteurs locaux avec une grande expérience sur ce marché s’animent pour acheter des terrains en vue de projets résidentiels”. Ce faible intérêt se reflète dans la faible activité immobilière de certaines capitales de province où la promotion de nouveaux projets se limite à 1 ou 2.

Source : EjePrime